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Plongez dans le fun de « who’s most likely to »

Vous est-il déjà arrivé de chercher le petit truc qui ferait décoller l’ambiance d’une soirée, sans avoir à sortir le costume gonflable de T-Rex ? Eh bien, voilà exactement pourquoi les questions « Qui est le plus susceptible de… ? » existent : elles transforment n’importe quel groupe d’amis (ou de collègues) en un véritable labo de la rigolade. En quelques secondes, on passe d’un « Qui veut des cacahuètes ? » à « Qui se baladerait en pyjama au bureau si c’était permis ? », et soudain, tout le monde se bidonne. Dans les lignes qui suivent, vous découvrirez comment ce jeu apparemment anodin cache en réalité un formidable outil de cohésion et de franches hilarités.

Introduction au concept et à l’origine du jeu “who’s most likely to”

Ce jeu, qui consiste à pointer du doigt (littéralement ou métaphoriquement) la personne la plus susceptible d’accomplir un acte précis, a un but très simple : s’amuser, briser la glace et, au passage, mieux connaître les excentriques qui nous entourent. Il faut dire que cette mécanique de « question-réponse collective » a des airs de cousin lointain d’autres classiques comme « je n’ai jamais… » (sauf qu’ici, au lieu de parler de ce qu’on n’a pas fait, on annonce fièrement qui, dans la pièce, pourrait bien le faire).

L’origine du concept remonte aux traditionnels jeux de société et aux activités d’animation de groupe. On pense souvent à la version potache qu’on voit dans les soirées, mais on ignore que derrière cet aspect léger peut se cacher un outil de cohésion très utile. Un simple « Qui est le plus susceptible de calmer un client mécontent au travail ? » peut, par exemple, dévoiler discrètement la qualité d’écoute de votre collègue. Dans d’autres cas, le jeu devient une sorte de loupe qui met en valeur les talents cachés (et les petites manies surprenantes) des uns et des autres.

Règles de base, variations et astuces pour animer la partie

Le principe est un vrai jeu d’enfant :

  1. Formez un cercle (virtuel ou réel) avec vos amis, vos proches ou vos collègues.
  2. L’un des joueurs lit une question du type « Qui est le plus susceptible de… ? ».
  3. Chaque participant désigne la personne qui, selon lui, correspond le mieux à la question.

La transparence et l’humour sont de mise : on peut demander des justifications, rigoler de la personne élue ou récolter quelques anecdotes croustillantes. Pour éviter que le jeu ne tourne en procès d’intentions, on conseille d’établir une ambiance bienveillante où tout le monde sait que c’est la bonne humeur qui prime.

• Astuce 1 :

Alternez les questions. Mélangez des questions amusantes (« Qui est le plus susceptible d’organiser une fête surprise pour lui-même ? ») à des questions plus positives (« Qui est le plus susceptible de toujours vous remonter le moral ? »). Cette alternance apporte un rythme léger et évite la monotonie.

• Astuce 2 :

Utilisez un système de « points ». Même si le but premier est de rire, on peut ajouter un soupçon de compétition en offrant un point à celle ou celui qui est le plus souvent désigné dans une manche donnée. À la fin, on découvre la « personnalité la plus singulière » du groupe… ou « le plus grand héros potentiel » si on préfère la formule modeste.

• Astuce 3 :

Variez la façon de voter. Au lieu de pointer la personne du doigt, distribuez des cartons ou des feuilles portant les prénoms de chaque joueur. Cela permet de révéler les votes en même temps, façon « grand verdict », et de donner un petit frisson supplémentaire.

Sélection de questions pour briser la glace entre amis ou collègues

Dans l’idée, pour briser la glace, on ne cherche pas à amplifier les malaises potentiels, mais plutôt à générer un effet « wow, on ne s’attendait pas du tout à ça ! ». Voici quelques pistes :

« Qui est le plus susceptible de :

  • se retrouver en plein fou rire en pleine présentation sérieuse ? »
  • remonter le moral à toute l’équipe un lundi matin ? »
  • se faire surprendre en pyjama lors d’une visioconférence ? »
  • proposer un karaoké improvisé lors d’un afterwork ? »
  •  commencer ses phrases par “J’ai une idée folle, mais…” ? »

Variez les plaisirs : alternez entre le très cocasse et le plus soft. Certains préfèreront dynamiser la conversation avec un « Qui est le plus susceptible de faire une blague douteuse au boss ? », tandis que d’autres auront plutôt envie d’un petit « Qui est le plus susceptible de toujours avoir un snack pour tout le monde ? ». L’idée est de garder la discussion légère et, si possible, révélatrice de traits de personnalité rigolos.

Adaptations pour différents contextes : travail, école, voyages, etc.

Au-delà d’une simple soirée à la maison, ce jeu s’adapte à divers milieux, pour peu qu’on peaufine un peu les questions selon le public et la finalité. Petit tour d’horizon :

• Au travail :

On évite les thèmes trop personnels en se concentrant sur des questions liées à la vie de bureau, l’esprit d’équipe et les anecdotes pro. Exemple : « Qui est le plus susceptible de répondre à un mail en moins de 30 secondes ? » ou « Qui est le plus susceptible de proposer la pizza-party la plus épique ? ». Cela renforce la cohésion du groupe et permet d’identifier l’âme festive de l’entreprise… ou le roi de la procrastination.

• À l’école :

Plutôt que de poser des questions trop privées, mieux vaut rester sur un registre léger. Exemple : « Qui est le plus susceptible d’avoir déjà un devoir prêt à rendre alors que tout le monde a procrastiné ? » ou « Qui est le plus susceptible de s’endormir en cours ? ». On garde ainsi une ambiance bon enfant sans mettre personne mal à l’aise.

• En voyage :

Que ce soit pour un road trip entre amis ou un voyage en auberge de jeunesse, on peut jouer avec des scénarios amusants. Exemple : « Qui est le plus susceptible d’oublier son passeport à l’aéroport ? » ou « Qui est le plus susceptible de goûter à la spécialité la plus étrange du pays ? ». Ce jeu rompt la routine et renforce les liens du groupe en créant des souvenirs mémorables.

• Autres contextes :

Pour les fêtes de fin d’année, les soirées pyjama ou les colloques, il suffit d’ajuster la thématique. Pour Halloween, par exemple, on pourra demander : « Qui est le plus susceptible de sursauter pour rien dans une maison hantée ? ». L’idée est de rester en phase avec l’événement tout en misant sur la convivialité et la spontanéité.

Conclusion

Finalement, ce jeu n’est rien d’autre qu’un prétexte génial pour mettre des projecteurs sur nos différences et nos bizarreries communes. C’est un peu un miroir inversé : plus on pointe du doigt, plus on se découvre soi-même. Et si, par hasard, on se rend compte qu’on est tous « susceptibles de… » faire les mêmes folies, alors c’est la preuve qu’on est plus connectés qu’on ne le pensait. Au final, « who’s most likely to » nous invite à rire ensemble de notre humanité partagée, et on en redemande.